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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 17:09

Après deux ans du départ de ZABA et 15 mois de l’élection du nouveau gouvernement, c’est le moment de s’interroger sur l’état d’avancement de la Tunisie dans sa marche vers le développement. C’est l’objectif principal de la révolution, produite spontanément à 100% par un peuple qui sollicite et qui a le droit à une vie meilleure.


En faisant un bilan sur la situation économique et social de la Tunisie, on est tous d’accord que sur ces deux aspects, la situation se détériore progressivement et plusieurs indicateurs de développement constatés nous laissent que des inquiétudes : Stabilité du niveau de l’emploi, chômage des cadres, une forte inflation, problèmes sociales, juridique et détérioration continue de l’infrastructure.


Cette situation n’est pas assez surprenante, en prenant en compte un gouvernement qui a présenté plusieurs faiblesses, mais qui essaie de travailler et une opposition et un syndicat malhonnête.


Ce qui est surprenant, c’est la division aveugle et de plus en plus agressive du peuple. On l’a remarqué hier, le jour du deuxième anniversaire de la révolution à l’Avenue H. Bourguiba et l’avenue Mohamed V. Oui, on est divisé, on est de plus en faible et de moins en moins solidaire.


L’enjeu du pouvoir est très important, et donc les différents partis feront l’impossible pour  y réussir, ils s’en tapent de l’intérêt du peuple par la stabilité du travail gouvernemental qui lui permettra d’améliorer sa situation, ils sont pour les magouilles, les complots et la malhonnêteté, tant que ça servira leurs intérêts personnels.

  Sachant que le tunisien est pacifiste et une grande partie du peuple est fan du « Bendir », ce qui explique que c’est une catégorie suiveuse, des êtres qui se sentent à l’aise au milieu du troupeau, et elle n’a pas le choix, elle doit choisir un parti politique existent sur la scène, une poubelle dans une Locale poubelle (et dans ce cas-là, le choix par conviction laisse la place au choix par élimination).


Ce mécanisme est très dangereux pour la transition politique du pays dans les prochaines élections. On y ajoute le rôle des médias qui adorent les scénarios hitchcockiens et qui continue à évoquer les sujets idéologiques, je constate et je sens que la Tunisie vivra encore de mauvaises situations sociales et économiques.

Croisant les doigts pour que les suiveurs se réveilleront et se porteront comme des leaders, des leaders de leurs opinions.

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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 01:59

The Battle Of GettySburg occured over Three Hot Summer Days, July 1 To July 3 1863, around the small market town of GettySburg, Pennsylvania. It Began as a skirmish but by its end involved 160,000 americans and effectively decided the fate of the Union.

 

On November 19, 1863, President Lincoln went to the Battlefield to dedicate it as a National Cemetery. The main orator, Edward Everett of Massachusetts, delivered a Two-Hour Formal adress.  The president then had his turn. He spoke in his high, penetrating voice, and in a little over two minutes delivered this speech, surprising everyone by its brevity and leaving many quite unimpressed at first. 

 

OverTime however, this speech with its ending - government of the people, by the people - has come to symbolize the definition of Democracy itself.

 

"Four Score and seven years ago our fathers brought forth on this continent, a new nation, conceived in liberty, and dedicated to the proposition that all men are created equal.

 

Now we are engaged ina great civil war, testing whether that nation, or any nation so conceived and so dedicated, can long endure.  We are met on  a great Battlefield of the war. We have come to dedicate a portion of that field, as a final resting place for those who here gave their lives that nation might live. It is altogether fitting and proper that we should do this.

 

But ina larger sense, we cannot dedicate - we cannot consecrate - we cannot hallow - this ground. The brave men, living and dead, who struggled here, have consecrated it, far above our poor power to add or detract. The world will little note, not long remember, what we say here, but it can never forget what they did here. It is for us the living, rather, to be dedicated here to the the unfinished work which they who fought here have thus far so nobly advanced. It is rather for us to be here dedicated to the great task remaining before us - that form these honored dead we take increased devotion to that cause for which they gave the last full measure of devotion -  that we here highly resolve that these dead shall not have died in vain - that this nation, under God shall have a new birth of freedom - and that government of the people, by the people, for the people, shall not perish from the earth."

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11 novembre 2012 7 11 /11 /novembre /2012 00:53

Pour s’internationaliser, l’entreprise doit mener une réflexion stratégique.


Elle définit tout d’abord une politique générale, en fonction de la situation présente de l’entreprise et de son marché, de l’environnement des ressources disponibles, actuelles et à venir, tant au niveau humain que financier et des objectifs à court, moyen et long termes. Elle servira de ligne directrice pour harmoniser les actions de chaque membre de la PME, Unique.


Il est important de mesurer les enjeux du développement à l’international pour la PME. En effet, s’internationaliser comporte d’avantage de risques et souvent plus couteux qu’un développement sur le marché national. Les ressources engagées par la PME ne doivent pas nuire à sa compétitivité globale. Cette décision ne se prend que dans le cas où la PME a un avantage certain pour assurer son développement global.


La PME doit mener une veille permanente afin de mieux anticiper les actions de ses concurrents. La PME a la possibilité de saisir plus rapidement que les grandes entreprises les opportunités offertes dans ces conditions, compte tenu de sa grande flexibilité.


Pour ce faire, la PME doit disposer des ressources humaines nécessaires ayant des compétences avérées en lien avec une activité internationale.


La capacité financière de la PME doit être suffisante. Il est recommandé à la PME d’investir dans son développement à l’international en évitant au maximum le recours au crédit. Il fau évaluer la capacité d’autofinancement pour apprécier leur capacité d’investissement.


Il faut prendre en compte est la phase de vie du produit. En fonction de la situation du produit sur la courbe de vie, la PME, n’aura pas les mêmes possibilités pour l’introduire sur les marchés étrangers. De nombreuses PME s’orientent à l’international quand le produit arrive à maturité sur leur marché actuel. C’est un moyen de prolonger la vie de leur produit sur des marchés moins développés. D’autres peuvent se développer à l’international dès le lancement, notamment quand il s’agit de produits innovants. La PME s’adresse dans ce cas à un marché de niche.


A cela s’adjoint la prise en compte des coûts d’introduction sur un marché étranger. Il faut rester vigilant sur les possibilités et les conditions d’accueil du produit à l’étranger.

 

Source : Thèse de doctorat "en préparation" de Alaa Hajlaoui

              Céline Bouveret-Rivat & Catherine Mercier-Suissa Dunod, Paris 2010


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7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 22:48

Il y a Des centaines d’années nos pères donnèrent naissance sur cette terre à une nation conçue dans la liberté et vouée à la thèse selon laquelle tous les hommes sont créés égaux.


Aujourd’hui nous sommes engagés dans une grande guerre idéologique dont le but de vérifier si cette nation, ou toute autre nation post-révolution conçue dans un tel esprit et vouée à une telle cause, peut être viable.


Actuellement, nous vivons dans une des périodes les plus importantes de notre histoire, nous sommes là pour faire d’une partie de cet époque une histoire sacré, où pourront jouir de leur dernier repos ceux qui ont donné leur vie pour que Notre Tunisie puisse revivre.


Il était à la fois opportun et approprié que nous agissions ainsi. Mais, en toute vérité, il ne nous est possible ni de dédier, ni de consacrer, ni de bénir cette époque.


On n’oubliera jamais ce que Les braves, morts ou vivants, qui se sont battus pour la liberté ont fait. Le monde aura à peine remarqué les propos de l’union et de la démocratie que nous tenons en cette ère et il n’en conservera qu’un souvenir éphémère, mais il n’oubliera jamais ce qu’ils y ont fait.


C’est plutôt nous les vivants qui devons nous consacrer à la tâche inachevée, mais si noblement conduite à son apogée pour ceux qui se sont battus pendant la révolution. C’est plutôt à nous qu’il appartient de nous consacrer au grand défi qui nous attend. Puissent ces morts à qui nous rendons hommage accroître notre attachement à la cause qui fut l’objet de leur ultime et complet dévouement.


Puissions-nous, par notre détermination, faire en sorte que ces morts ne soient pas morts en vain, que Notre Tunisie, à l’ombre de dieu, puisse renaître dans la liberté… et que le gouvernement du peuple, par le peule et pour le peuple ne disparaisse pas de la surface de la Terre.


Inspiré par le discours de Gettysburg –Abraham Lincoln

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 00:23

The failure and the success, two contradictory concepts. However, they connected to each other.


I decide to write about the failure, because nowadays, and especially the young people category are living in a hard social and economic environment : Looking for a job, search of the originality touch and innovation to improve the professional and personal life, very low standard of living and purchasing power, and the unstable political and social situation in Tunisia.


I’ll talk about the story of one people who so much suffered to achieve his target, it’s Abraham Lincoln.


A.L was the sixteenth USA president and he was the first republican president of the USA history.

Reared in an extremely poor family on the western frontier, he was mostly self-educated. He became a lawyer, politician and an effective military leader as the country lived the biggest crisis of its story.

 

A.L.jpg

The election of anti slave republican caused immediately the creation of American confederacy states formed by 11 slave states. 3 years later, he drafted the slavery emancipation proclamation and the slaves were emancipated.

Just after his re-election for a second mandate with 56% of the popular vote, he was murdered by a confederate sympathizer, and his coffin was 17 times moved in 40 years following ones.


Lincoln Lost 2 wives and 3 children, he survived a nervous breakdown caused by the family problem and the political Failure. He lost also twice the congress election. All, this failure has been lived before his election as a president.


A.L knew that his freedom vision will change the world order and the American majority didn’t accept that. He died for the Liberty, he was chosen as the most influential person in History of America.


So why, I say to all  people, who failed to reach their objectives, or those who has suffered from disappointments or injustices : "Continue to fight, and one day you’ll savor the success".


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23 septembre 2012 7 23 /09 /septembre /2012 22:42

1 an déjà que j’ai décidé de mettre par écrit mes pensées et mon opinion sur certains sujets.


Sur FB, à la période la révolution j’ai commencé à m’exprimer à travers les statuts, commentaires et vidéos. Après, j’ai senti que ma pensée, que j’ai toujours souhaité être partagé par une masse importante des tunisiens, n’atteint pas le nombre des internautes souhaités.


Depuis, j’ai commencé à utiliser OverBlog (Qui est à mon avis le support le plus facile et le plus développé). 

Entre une opposition opportuniste et malhonnête et un gouvernement égoiste, catastrophique et destructeur de certains valeurs de la république. Je n'ai pas voulu me positionner avec l’un ou l’autre, sans être convaincu de la crédibilité de quelqu’un ni l’honnêteté d’un autre. La raison pour laquelle, selon mes chers lecteurs que je suis resté dans l’ombre.


M’exprimer c’est être honnête avec moi-même, Je ne prendrai jamais une position tant que je ne serai pas convaincu, je serai jamais hypocrite ou opportuniste comme certains blogueurs.


1 an déjà que je m’exprime, j’en suis ravi et je continuerai à satisfaire ma conscience, sans me dérailler de la ligne de l’honnêteté.


38 articles Déjà, avec 5810 pages vues et 4218 visites totales.


Des chiffres exceptionnelles qui promettent une continuation meilleure et plus efficace.


Une analyse autocritique et une remise en question continue qui améliorera certainement la qualité de mes écritures. Des écritures à but non lucrative, mais à la conquête de la vérité.


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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 23:34

Avant Toute chose, je présenterai une définition du syndrome du larbin car certains lecteurs peuvent ne pas le connaître.

Chez un individu, le syndrome du larbin est un comportement pathologique visant à prendre systématiquement la défense des classes les plus favorisées au détriment de celles dont il est issu. Ce syndrome diminue les capacités d’analyse du larbin et se traduit par un blocage psychologique l’incitant à agir préférentiellement contre ses propres intérêts au profit de ceux qui l’exploitent.


Ça me rappelle nos députés de l’ANC, Non ???


Les arguments politiques et économiques qu’ils invoquent quotidiennement sur les plateaux télés et les médias n’ont pas servi à forger leurs convictions. Ce syndrome est malheureusement acquis dès leurs plus jeunes âges et contre lequel il n’existe aucun remède.


Nos chers larbins n’ont pas choisi d’aimer leurs maitres, ils les aiment tout simplement car ils sont des larbins. Ils votent les lois instinctivement dans l’intérêt de ceux qui les exploitent pour s’attirer leurs bienveillances.


Exactement ce qui se passe chez une grande majorité de notre classe politique, certains larbins politiques réagissent vivement à toute discussion qui ose remettre en cause les privilèges de leurs maitres. A chaque fois que j’entends une déclaration ou argumentation politique, je sens directement qu’elle est loin d’être convaincante.


Et pire, le syndrome du larbin ne prolifère pas seulement chez notre classe politique et nos députés de l’ANC, il affecte une large classe populaire sans corrélation apparente avec le niveau d’étude ou le niveau social.


Le paysage politique avec l’élection d’un président « larbin-né » révèle un degré de contamination critique, la situation en Tunisie est grave et les symptômes ne cessent d’évoluer au fil d’actualité et surtout que le Jour J des élections s’approche.


« Satar Rabi » si certains larbins construiront les bases de la nouvelle république, une république qui durera longtemps.

 


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2 septembre 2012 7 02 /09 /septembre /2012 03:03

Depuis quelque temps, je suis en contact quotidien avec mes Chers compatriotes tunisiens, en Tunisie « Post Révolution ».

J’insiste sue ce détail, car la Tunisie « Post Révolution », n’est pas la même qu’avant. Cette Tunisie se caractérise principalement par la démocratie, la liberté d’expression et de pensée.


Certes c’est un avantage, mais le risque d’une fausse compréhension et mauvaise application de cette liberté est devenu réel. Je me disais parfois que peut être nos générations futures sauront comment le penser et comment l’appliquer, mais à l’heure qu’il est, les premiers dégâts de cet abus de liberté sont de plus en plus remarquables.


Au Café, au Bar, à la cité, entre familles et amis…Bref, partout en Tunisie, on parle et on bavarde, Rien ne nous plait, absolument rien. Et pire, nous nous plaignons sans donner des arguments logiques ou scientifiques, sans être même convaincus, nous critiquons tout sans donner la moindre solution.


Je pense que le bavardage est une épidémie très dangereuse qui a touché une bonne majorité des tunisiens. Le bavardage est une épidémie car elle se propage rapidement à un grand nombre de personnes.


Le moyen de se guérir de cette maladie c’est d’écouter. Or les bavards n’écoutent jamais. Ils parlent toujours, et le premier mal de leur intempérance de langue, c’est qu’elle les empêche de rien entendre. Leur surdité est volontaire. Ils ont l’intention, de protester contre la nature, qui ne nous a donné qu’une seule langue en même temps qu’elle nous a pourvus de deux oreilles.


Euripide a eu raison de dire : « Je ne saurais remplir ton cerveau toujours vide, Ni verser la raison dans une âme stupide ».


Au lieu de conserver les paroles qu’ils entendent, les bavards les laissent s’écouler aussitôt. Ce sont des cerveaux pleins de sons et vides de sens, qui vont et viennent.


Un conseil très cher à tous les bavardeurs :


« Sache te taire, Petit : Le Silence a du bon ».


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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 23:39

Le Skype : Avec les nouvelles technologies, la porte du dirigeant peut être toujours ouverte, il peut être plus disponible pour toute l’équipe qui s’il était perché dans un bureau au 4ème étage. En une seule journée, on peut communiquer avec plus qu’une cinquantaine des salariés via Skype et les e-mails.


Le cyberentrepreneur a trouvé un style de management qui étonne plus d’un patron. Il ne dirige pas en ayant mis en place un management par l’absence. Au contraire, il a inventé le management numérique de l’hyper-présence.

La net-étiquette veut que tout le monde se tutoie, mais cela n’empêche par le respect de la hiérarchie


La Zen attitude :Chaque Semestre, tous les employés se réunissent dans la salle de repos, en mettant de la musique et des bougies et chaque participant bénéficie d’un massage assis de 30 minutes.


La générosité par principe :Selon le modèle Google, la course à l’innovation suppose de recruter les meilleurs, et pour cela, il faut verser aux collaborateurs des salaires supérieurs à ceux qu’ils obtiendraient chez les concurrents. Les entreprises savent qu’en retour, les salariés feront plus d’efforts pour les remercier de leur générosité.


Le Soyons Francs :Le oui, oui, toujours d’accord avec le boss, ne fait pas avancer le monde. Par exemple, les managers de Renault sont formés à recevoir des feedbacks francs de la part de leurs collaborateurs, quelles que soient leurs opinions et positions dans la hiérarchie, tout en remerciant un salarié d’avoir eu le courage d’avoir eu le courage de dire ce qu’il pense.


After Works :Pour récompenser ses collaborateurs, le dirigeant organise un After Works ou un summer day, au cours duquel, toute l’équipe visite une exposition dans un musée avec un guide, suivie d’un cocktail ou diner.


Prime au bonheur :Plutôt qu’une prime au résultat, pourquoi ne pas instituer une prime au bonheur, le salarié qui est heureux reçoit une prime. A terme, c’est tout bénéficie pour l’entreprise qui sait qu’elle peut compter sur lui.


Le world Café :Pour faire une cure d’innovation, le dirigeant peut aguerrir aux pratiques collaboratives. Avec un café servi aux salariés, par tables de 4 ou de 6, les participants débattent d’un sujet pendant 20 minutes. Au rond suivant, ils changent de tables. Un hôte y reste et résume la conversation précédente aux nouveaux arrivants, qui l’enrichissent à leur tour. Au bout de plusieurs rounds, une synthèse des idées est présentée.

 

Le Manager, où plutôt le ManaDJER, DJ de sa boîte, il n’est plus un chef d’orchestre, mais un DJ qui crée de l’ambiance dans l’entreprise, donne le bon temps aux équipes. Il maintient un état permanent d’excitation, de surprise et donc de motivation. Il donne le goût et l’énergie au travail et conserve ainsi ses meilleurs collaborateurs.


Fort de ce constat, Manager à contre-courant à travers les idées évoquées ci-dessus ou à travers d’autres initiatives, parait une solution vitale au dynamisme de la force humaine au sein de l’organisation.

 

 Cliquez pour visualiser la première partie de cet article

 

 


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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 23:33

 

L’innovation managériale est dans l’air du temps. Manager à contre courant des standards est devenu un moyen sûr de créer de la richesse et d’ajouter une touche de motivation au sein de l’organisation. Les leaders qui réussissent ont piraté l’ordre établi. Ils sont plus attentifs aux idées originales, alors qu’hier ils se retranchaient derrière leur impuissance à créer de nouvelles manières de travailler.


A l’heure où la compétition internationale n’a jamais été aussi féroce, la solution ne serait-elle pas de remettre l’homme au centre des préoccupations ?


Du coup, il ya une urgence à faire différemment et mieux en matière de management. Le management ne doit plus mentir à lui-même ! Chaque dirigeant peut oser l’entreprise humaine, l’intelligence collective, la coopération. Il ne s’agit pas d’inventer un management de crise. La société a changé, nous ne retrouverons plus le même monde. Il faut manager en fonction de cette nouvelle donne.

Des icônes du business comme Google, Zappos, Apple ont montré  le chemin de modes de management différents qui ont fait leurs succès.


En Tunisie, on peut également innover. Les leaders tunisiens doivent ajouter une touche de management atypique se reposant sur l’efficacité, la confiance et la générosité, surtout que les managers à contre courant présentent l’avenir, et s’en sorte mieux que les autres.


Nous avons enquêté sur cette tendance audacieuse et ambitieuse de management, d’après des expériences des chefs d’entreprises françaises, qui constituent une piste de réflexion et d’action intéressantes d’intelligence collective. Sans les imiter forcément, les leaders tunisiens peuvent s’inspirer de leurs pratiques :


Le Kami Mata :Où la prise de col au Judo, Un leader d’une PME explique que le Judo lui a appris à manager une équipe de 170 personnes. Le principe est de manager dans la vérité et dans le respect, en mettant en application le code moral de Judo composé de huit valeurs, dont notamment le contrôle de soi, la sincérité, le courage et l’amitié. Les progrès individuels passent par l’entraide et par l’union de ma propre force avec celle des autres. Ce dirigeant emmène quelques salariés à tour de rôle, à un club de Judo pour qu’ils s’imprègnent de la philosophie de cet art martial. Les moments passés ensemble en dehors des locaux de l’entreprise soudent incontestablement les membres de l’équipe.


« Manager, c’est faire le ménage de l’escalier. On commence par les marches du haut, c'est-à-dire que le manager donne l’exemple. »


Vous trouverez la suite dans le prochain article (Lien ci-dessous), Merci 


Intelligence collective (2) 

 

 



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